Bien que délicate et raffinée dans sa vie quotidienne, Béatrice était souvent sujette à de violentes pulsions sexuelles. Olivier connaissait très bien les bouffées délirantes qui s’emparaient de sa femme. Il savait que cette brutalité sexuelle à laquelle elle exigeait d'être soumise devait être satisfaite. Aussi avait-il appris à répondre toujours favorablement à toutes ses fantaisies, et à s'en réjouir. Cette fois-ci, elle fut d’abord envahie par une irrésistible envie de se faire lécher l’anus tout en étant fessée. Puis elle lui demanda d'y enfoncer sa langue. Elle s'y était ensuite introduite elle-même un doigt. Puis deux. Puis trois.

A présent que son orifice s'ouvrait béatement, elle désirait se faire sodomiser avec virulence. Elle s’était mise à quatre pattes, et dressait son cul en l’air aussi haut que son corps le lui permettait, en appuyant sa tête sur le canapé.

Béatrice_ Encule-moi chéri, je veux être enculée comme une petite chienne. Mon cul est plein de braises.

Il enfonça sa queue dans son anus, et peu à peu, s’y agita comme il fallait. Béatrice, qui gémissait de plaisir et de reconnaissance, se doigtait en même temps.

Béatrice_ Ah oui! C’est bon! Comme je me sens baiseuse maintenant.. ah.. ohffff.. je me fous totalement de savoir ce que je suis, qui je suis.. ah.. plus fort.. défonce-moi le cul! Ah.. bourre-moi, bourre-moi!

Olivier_ Petite pétasse.. tu n’es qu’une sauteuse.. je t’ai chopée au coin d’une ruelle.. je te baise par terre, devant les passants..

Béatrice_ Oui! Baise mon cul.. montre au passant qu’elle salope je suis en vérité..

Olivier_ Regardez-tous cette petite garce en chaleur.. comme je la fous.. comme elle aime l’os à moëlle qui lui dévisse son trou du cul! 

Béatrice_ Oui, encore.. bourre-moi jusqu'au tréfond des entrailles..

 Olivier_ Tiens, prend ça, et ça, et çahhhhhh.. petit cul de merdeuse.. il te faudrait une deuxième bite maintenant, heiiiinnnn!? tu voudrais qu’un passant te prenne avec moi..

 Béatrice_ Ahhhh ouiiiiii.. tu n'avais qu’à en avoir deuxxxx.. j’en veux une deuxième..

Olivier ressortit de sa femme, saisit un gode, et l'enfonça dans son sexe.

Olivier_ Tiens, voilà un des passants.. tu sens comme il rentre..

Elle prit le gode dans une de ses mains.

Béatrice_ Hummm.. oui... quelle bonne verge.. bien grosse.. allez, reprend-moi.. baisez-moi à deux maintenant.. Mettez-moi, donnez-moi tout ce que vous avez..

 Olivier_ Tiens, prend ça petite cochonne.. petite bouffeuse de sperme. 

Béatrice_ Ouiiiiii... défonce-moi.. je veux que tu me défonces...

Elle fermait complètement les yeux. Elle n’était plus une femme libre. Elle s'imaginait esclave,  enchaînée de force dans une ruelle dans cette position, en train de se faire prendre et observer par tous les passants. Elle n’était plus que ce cul jouissant par les deux côtés. Son mari la foutait bestialement, en lui mettant, jusqu'aux rougeurs, des claques sur les fesses. Plus il ruait, plus il l’insultait, et plus elle en redemandait, en remuant le gode dans son con.

Olivier_ Petit anus béant.. ahhhhh.. tu n’as pas d’autre raison d’être que d’être mise.. tu sens comme ces deux bites te bourrent les trous.. ahhhhh.. il t’en faudrait une troisième dans la bouche heiiiinnnn..

 Béatrice_ Ohhhh ouiiiiiiii.. une troisièmmmeee.. et plus encorreeeeaahhhh.. ah bon dieu! Je viens! Je viens! Je jouis par les deux côtés... ahhhhhh OUIIIIIII!!!

Olivier_ Ah salopppee!! Salopppeee!! Comme ton fion se sert... ça vient.. Je me vide OUIIIII!!!!

Peu après leurs orgasmes aussi sauvages qu’intenses, le couple s’enlassa, repu de plaisir. Béatrice se sentait très sereine.

Béatrice_ Quel délice mon amour.. je me suis sentie tellement chienne, sur le coup.. et maintenant, je suis comme une petite colombe dans tes bras.. Hummm.. comme tu m’as faite jouir.. je me sens amoureuse. J’ai l’impression que mon cul ronronne.. 

Olivier_ Moi aussi je t’aime.