-
Série 4
Par DiaporamaX dans Fragments libidinaux de femmes le 25 Février 2013 à 12:47Bon dieu, l’effet qu’il me fait, l’état dans lequel il me met. Il ne se rend pas compte.
Il fait un saut chez moi de temps en temps. Il a toujours la délicatesse de téléphoner avant, pour savoir si je suis disponible. Il reste le temps qu’il faut. Il fait ce qu’il faut. Il n’a aucun principe en amour : mais il sait jouir et faire jouir. Et comme il me plaît, je prends.
Il avait ce soupçon de virilité sauvage. J’ai tout de suite senti qu’il faudrait lui donner de la chatte à revendre. Il n’a pas été déçu.
Il est passé chez moi en matinée. Il se rendait chez un client. Il a apporté les croissants. Il est resté une demi-heure. Il nous a fallu moins de cinq minutes pour manger les croissants. Où va-t’on?
Quelle queue! Quel splendide étalon. Je ne connaissais rien de ce salaud. Mais qu’est-ce qu’il m’a fait jouir.
Non mais regarde-le moi celui-là, qui y vient et y revient. Ça y est, il est raide dingue. Je le tiens.
Le baiser qu’il me donna me fit chavirer dans une magie inespérée. Nos langues s’enroulèrent longuement, langoureusement, tandis qu’il appliquait ses mains sur tout mon corps. Il était tellement attentif, tellement soucieux du plaisir qu’il voulait me donner. J’ai écarté mes jambes. J’étais à lui, conquise, désireuse que ce moment ne cesse jamais.
Il a été tellement impressionné qu’il n’a pas réussi à bander. Il m’a regardé et m’a dit : “tu es trop belle, ça me bloque”. C’était très touchant. Alors nous avons discuté.
Je lui ai expliqué ce qui me tourmentait. Il a paru écouter, et puis il m’a proposé de baiser. Les hommes sont incorrigibles.
J’ignore quelle petite garce l’a branché aujourd’hui. Mais il y avait longtemps qu’il ne m’avait pas montée comme ça.
Nous avons été des amants réguliers pendant deux ans. Aujourd’hui, on ne se voit que rarement. Il n’ a pas pu s’empêcher de me demander de lui tailler un pipe. Je lui ai demandé de me lécher. Il a une belle queue. J’aime le sucer. ll a joui dans ma bouche, et m’a fait jouir du clitoris. Et puis on s’est quitté, contents. C’est un petit truc entre lui et moi.. une petite complicité secrète. On a toujours aimé se réconforter. Il repart dans deux jours. C’est plus de temps qu’il ne nous en faut pour un tango torride.
Quelle douce folie. Qu’est-ce qu’il était beau. Il était vraiment bon. J’ai secoué mon cul comme une folle. Il m’a épuisée.
Il veut me sauter. Quand comprendra-t’il que ce n’est pas réciproque?
Je me sens si bien avec lui. Je n’ai vraiment aucune raison d’aller voir ailleurs.
Il m’a sortie au restaurant, et s’est montré très galant toute la soirée. Pourquoi se contenter d’une sauterie, quand on peut bénéficier de si charmants à côtés?
Mon dieu, qu’est-ce qu’il était empoté, et coincé du cul! Mais comment ai-je pu atterrir dans son lit?
Il ne m’aime pas. Mais il me fait si bien l’amour. Alors je jouis, et je pleure.
Comme il me manque!
J’avais d’abord pris ses sourires et ses regards pour des signes d’affection paternelle. 2o ans d’écart, tout de même. Mais quand il m’a prise, ouh là... la maturité a du bon.
Il est presque à genoux, au niveau de ma chatte humide et brûlante.
Il me met dans tous mes états. Il y a entre lui et moi une alchimie sexuelle sidérante.
Il m’a séduite. Il m’a prise dans tous les sens. Puis il manifesta le besoin de parler de nous.
Il ne me touche plus. Alors je le trompe.
Quelle soirée! Nous avions beaucoup bu. On a baisé comme des dingues. C’était tellement excitant. Il m’a prise toute la nuit. J’ai beaucoup crié.
Je n’ai absolument aucun avenir avec lui. Il se fout de tout. Mais qu’est-ce qu’il me baise bien.
J’étais complètement ivre. Ce soir-là, il ne restait de moi qu’une femelle en chaleur. Je ne me souviens pas de tout. Je l’ai invité chez moi. Il m’a raccompagné jusqu’à ma porte, et à refuser de rentrer. Un vrai gentleman.
Ils étaient amicaux et très respectueux. Ils m’ont prise à deux. Je ne savais plus où j’habitais. Je n’étais plus que ce corps de femme, suspendu entre leurs deux sexes durs et expérimentés. J’ai aimé ça. Je les ai laissé dormir chez moi. Et le lendemain matin, ils m’ont remercié comme il se doit.
Ses mains. Ses mains pleines de force, passant avec douceur dans ma nuque, sur mon visage, sur mes épaules. Je me sens en sécurité dans ses bras.
Ivre de désir, le sexe humide, je m’ouvre à lui. Je m’abandonne complètement. Pour lui, c’est une offrande et un partage. Tant mieux pour moi.
Je garde de lui un souvenir particulièrement tendre.
Je lui ai taillé une petite pipe avant qu’il ne décolle. Il doit partir pour une semaine.
Il a un physique tellement athlétique. Et tellement de force. Il est à la fois doux et puissant. Il n’y a qu’avec lui que j’arrive à me sentir si femme et si femelle à la fois.
Une fois encore, je me suis soumise à ses désirs. Une fois encore.
Il est sacrément bien monté. Lorsqu’il a sorti ce sexe énorme, et qu’il s’est glissé entre mes jambes, il m’a presque coupé le souffle. C’était la première fois que je recevais un tel membre en moi. Puis l’appréhension a laissé place à sa puissance.
Ils me fatiguent. Je sais exactement ce qu’ils veulent. J’ai fait le tour.
J’aime ce voile suave dans ses yeux, quand il me dit: “Je t’aime”.(...)
-
-
Commentaires
-
Bise