Série 2

 

 

J’aime les hommes qui aiment les femmes.

J’ai aimé être pénétrée dès les premières fois. Il n’y a que la verge d’un homme pour me procurer ce genre de stimulations et de sensations. J’adore me faire sauter.

Branler, sucer. Tripoter la queue comme les couilles. J’ai tout de suite apprécié ça. J’ai instinctivement compris que je disposais de deux mains, d’une bouche, et qu’il fallait savoir s’en servir.

"C'est quand tu veux".

 

Cette façon qu’ont les hommes de me regarder. Cette lueur dans leurs yeux..! Oui, j'aime plaire et séduire. Mais que seraient ces plaisirs, sans le vertige suprême de succomber parfois à la tentation..?

"J'ai envie de m'amuser".

J’aime sentir une verge en pleine érection du seul fait de mes gâteries. Le spectacle d’une queue qui reste mollassonne, en revanche..

"Non, je n'aime pas sucer. Mais laisse-moi te montrer ce que je sais faire avec mes mains".

Bien sûr qu’il m’arrive d’être en chaleur. C’est dans ces moments-là que je trouve regrettable que le mot homme ne soit pas nécessairement synonyme de bon étalon.

Si je reste trop longtemps sans avoir de rapports sexuels, je me sens en manque. Alors je sors. J’ai autant besoin de sexe que d’amour.

A défaut d’un grand amour, il faut savoir se contenter de bouches trous.

“Doucement, je suis délicate”.

 

J'ai beaucoup d'appétit, mais je suis une gourmet. Je choisis toujours avec soin mes amants. Et ils me le rendent bien.

J’adore jouer avec une queue tendue. Je la caresse, la masse, la masturbe, la lèche, la mordille, l’avale, et je la loge en moi. Et généralement, ils en redemandent. Ils me disent que je suis bonne.

"Si tu veux, on se retrouve en douce, et on fait comme si on se connaissait pas lorsqu'on se croise dans la rue".

J’aime que ma moule soit imberbe. Comme ça, c’est une moule qu’un homme peut dévorer sans avoir à recracher de coquille.

Ses yeux me demandent si j’aime écarter les jambes? Mais quelle question..

“Oui, lèche-moi. Passe ta langue partout. Enfonce-là dans mon vagin..!”

 

J’aime sentir ce qu’il me fait. J’adore lui tripoter les couilles alors que sa verge va et vient en moi.

 

 

"Alors, tu aimes me voir me branler le clito pendant que tu me prends? Ça t'excite?".

Comme ma mouille l'excite...

Je suis sans tabou et faite pour la sensualité. Non seulement, j’aime être désirée, mais j’aime copuler. Je savoure autant d’être montée que de monter à mon tour. Il n’ y a de toute façon rien d’autre à faire lorsqu’on s’accouple avec un homme. Il faut bien s’occuper de lui, et de sa queue. Ils aiment tant ça.

“Ah, je me régale!”.

Je n’ai ni préjugés ni préférences quant aux positions dans lesquelles un homme veut me prendre. C’est surtout une question de feeling, sur le moment. Tant qu’un homme sait me faire jouir sans me mettre mal à l’aise, je suis prête à lui accorder bien des caprices.

"Tu vois?".

J’aime tant faire l’amour et explorer le plaisir des sens que je ne parviens pas à comprendre comment une femme peut volontairement décider de devenir pute ou actrice de porno. Non que je méprise ces métiers. Mais je n’arrive pas à concevoir que l’on puisse faire de son sexe un outil de travail, et avoir autant de relations sexuelles sans y prendre le moindre plaisir.

"Bon, tu es content? Tu as tiré ton coup?".

Ce que j’ai pu sucer comme queues. Et j’en sucerai encore. D’abord, j’aime ça. Quand je mets une queue dans ma bouche, ma chatte redouble du désir d’être pénétrée. Ensuite, il n’y a rien de plus efficace qu’une pipe pour donner envie à tout homme digne de ce nom de bien vous monter. Bien idiotes celles qui s’y refusent. Bien malheureuses celles qui y répugnent. Il n’y a pas d’indicateur plus fiable sur le désir qu’un homme à de vous prendre, que de sentir sa verge durcir dans votre bouche, sous votre langue. Les hommes mentent, trichent.. leurs bites jamais.. ah comme ils brûlent de rentrer en moi, après avoir été bien sucés; la fièvre de leurs regards au moment de rentrer.

“Défonce-moi!”.

 

Il n’y a pas de meilleures façons de tenir un homme viril dans des dispositions érotiques qu’en étant gentille, attentive, et en le faisant bien jouir de la queue.. quand on a compris ça, on suce, on lèche, on branle, on bouge son bassin, on se tortille, et on joue des contractions de son vagin. On met du coeur à l’ouvrage.

Ce petit rien de lubricité qui les fait revenir à la charge..

“Vas-y, je veux que tu t’exploses!”.

Si mon amant veut me sodomiser, il faut qu'il le mérite.. il faut qu’il soit aussi tendre et délicat que viril. Il faut encore qu’il lèche bien. Quand un homme sait me manger le minou sans rechigner à me lécher et me doigter l’anus.. et qu’il s’échauffe en me préparant.. là oui, je lui offre mon petit trou du cul. Mes orgasmes sont alors indescriptibles. Je jouis de tous les côtés à la fois.. du cul, du vagin et du clitoris.. c’est sidéral.

 

 

"Hum.. si tu continues à me faire l'amour comme ça, toi, je sens que je vais tomber amoureuse".

Je suis très portée sur la chose. J’aurais très bien pu verser dans la pornographie. Je suis suffisamment coquine. Mais je suis trop pudique.

Ce que peut faire une langue avec ma chatte... hum...

Il m’a bien fallu finir par admettre qu’il existe certaines sensations dont je raffole, et que seul un homme avec sa queue peut me fournir.

J’aime quand mon clitoris bande. Ce n’est certes pas aussi spectaculaire qu‘une bite en érection. Mais ça bande. J’aime quand un homme me fait bander.

Au nom de quoi devrais-je réprimer ma gourmandise pour le sexe?

“On remet ça?”.

Il est si bon de faire l’amour. Bon dieu, mais par quels chemins tortueux en sommes-nous arrivés à apposer autant de freins moraux sur le plaisir des sens?

L’amour? Hum.. une bonne dose de raffinement avec une petite pointe d’obscénité.

"Tout ce que je te demande, c'est d'être cochon".

(...)