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Par DiaporamaX le 1 Octobre 2012 à 18:11
1)
D'une nature gourmande et insatiable, Cyntia avait reçu une éducation des plus libertaires. C’est sans la moindre retenue qu’elle passait d’homme en homme. Ou plus précisément, de verge en verge. Dès qu’un mâle lui plaisait, dès qu’elle en avait l’opportunité, elle faisait en sorte de coucher avec. Trop frivole pour se soucier des intentions de ses amants, trop détachée pour se soucier du “qu’en dira-t’on”, pas suffisamment intelligente et exigente pour vivre autrement, c’est ainsi qu’elle était faite. Elle était libre, belle, gentille, pas très évoluée, et avide de sexe. Elle enchaînait les petits boulots et baisait chaque fois qu'elle en avait l’occasion, son seul critère étant le plaisir qu’elle prenait. Toujours amoureuse, jamais inconsolable. Quelqu’un ne voulait plus d’elle? La belle affaire. Elle allait voir ailleurs.
Irrémédiablement incorrigible, et très volontaire, elle avait élaboré une technique de séduction imparable: un sourire enjoleur, et la main au paquet. D'aucuns y verront un manque de raffinement. D’autres, l'exubérance de sa nymphomanie. Quelle importance? Par ce moyen, elle parvenait à ses fins. C’est ainsi qu’elle avait eu le beau Lionel, lors d’une soirée dansante de village. Quand elle le vit se balancer en rythme sur la piste, elle n’eut pas l'ombre d'une hésitation. Alors que plusieurs autres femmes se jaugeaient entre elles autour du jeune homme, elle s’avança vers lui, dansa avec, et le sentant réceptif, frotta sa cuisse contre son sexe, l’embrassa, et le laissa frotter la sienne contre sa chatte.
Une demi-heure plus tard, elle s’allongeait avec lui dans un champ, non loin de la salle de fête. Ils ne prirent pas la peine de se déshabiller. Il n’eut qu'à relever sa robe, et glisser sa culotte sur le côté. Elle n'eut qu'à descendre son pantalon et son slip au bas de ses chevilles. Puis, tandis qu’il déboutonnait son décolleté pour plonger son nez dans sa poitirine, elle prit sa queue entre ses mains, et l’enfourna là où il faut. Dans son journal de bord, elle put écrire plus tard: soirée dansante sympa où je me suis gentillement fait monter à la belle étoile. Croyez-vous qu'elle aurait été dérangée par l'homme qui vint pisser à proximité du couple, en ayant l’indélicatesse de jouer les voyeurs? Pas le moins du monde. Au contraire même. L'inopportun aurait pu suivre tout leur coït, si Lionel n'avait pas vosciféré quelques noms d'oiseaux à l'encontre du malotru. Quand le monsieur s’en alla enfin, sous peine que cela en vienne aux mains, il demanda à Cyntia, sans cesser de la prendre:
Lionel_ Dis-moi, ça ne te dérange pas qu’on te regarde baiser, toi?
Cyntia ne répondit rien, préférant rester concentrée sur l'affaire en cours, et laissant échapper des souffles de plaisirs. Quand ils eurrent fini, Lionel était plutôt content. Il lui dit alors:
Lionel_ Je n’ai pas envie de retourner danser.. je t’inviterais bien chez moi pour reprendre là où on s’est arrêté, mais je n’habite pas dans la région. Je comptais dormir dans ma voiture ce soir.Cyntia_ Reprendre là où on s’est arrêté, répéta-t’elle avec un large sourire.. on peut aller chez moi si tu veux. J’habite tout près d’ici.
2)
Il fallut quelques jours de frénésie sexuelle intense pour que Lionel commence à réaliser les limites intellectuelles de sa nouvelle compagne, ainsi que le caractère insatiable et répétitif de ses appétits. Toute conversation tournait toujours court. Et il lui fallait la monter, encore et encore. Ainsi, jouissant d’un hébergement estival gratuit, qu’il n’avait pas cherché à obtenir au demeurant, il foutait, sans forcément en éprouver chaque fois le désir. Comme cette journée, au bord d’une rivière, où il ne voulait rien d’autre que jouir du soleil et de l’eau, et que s’allongeant pour faire une sieste, elle baissa son maillot de bain et prit son membre en bouche.
3)
Cyntia fut soudain prise d’une irrésistible envie. Elle s’était réveillée la chatte humide et chaude, et n’avait pas d’autre souhait que de foutre. Elle avait pourtant déjà considérablement vidé les couilles de Lionel. Mais elle brûlait encore. Cela tenait peut-être à cette chambre d’hôtel, où elle s'était mise en tête de l’amener. Fiévreuse, elle se soucia peu du sommeil et des forces de son amant. Comme il dormait sur le dos, elle n’eut qu’à mettre sa queue dans sa bouche.Lionel_ Cyntia, mais qu’est-ce que tu fais?
Cyntia_ Ben je te suce, idiot..
Lionel_ Mais enfin.. je dormais..
Cyntia_ J’en veux encore.. laisse-moi faire..
Lionel_ Putain, il est 3 heures du mat.. c’est limite du viol là..
Cyntia_ Ah oui, excellent.. je te viole..
Bien que plongé dans les brumes, Lionel se mit à bander. Sa queue n’était pas aussi dure qu’elle pouvait l’être, mais il bandait suffisamment. Après lui avoir imposé un 69 de bonne et due forme, Cyntia le sortit du lit, l'assit dans le large fauteuil, et le chevaucha. Il se laissa tout bonnement baiser. Il se soumit complètement aux coups de chatte qu’il prenait. Il songea que dès le lendemain, il partirait. Il était las de coucher avec cette insatiable beauté à qui il n’avait plus rien à dire. Cette idée le motiva même. Il s’agita un peu.
Lionel_ Allez, Cyntia, viole-moi.. ouais, vas-y..Cyntia_ Ouais, c’est moi qui te prend, et je vais t’achever.
4)
Comme il se l'était promis, Lionel prit la poudre d'escampette dès le lendemain. Il pense parfois encore à cette gentille sauteuse. Il lui arrive même de se branler, en fantasmant sur une telle disponibilité sexuelle. Et Cyntia? Et bien Cyntia continue de foutre, et d'épuiser, inépuisablement, tous les hommes qu'elle rencontre.
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